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Mes dernières chroniques

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mercredi 25 février 2015

Conversations avec Dieu : un best-seller !

Pour mon premier article, je choisis une entrée tonitruante avec la série de livres qui a marqué le plus ma vie : la célèbre trilogie Conversations avec Dieu !

«Vous êtes sur le point d'entrer en conversation avec Dieu. » Déjà, la promesse est alléchante ! Que demanderiez-vous à Dieu si vous l’avez en face de vous ? Si vous étiez sûr qu’il vous répondrait ? Si vous pouviez tout lui demander, absolument tout, comme à votre meilleur ami ? Oseriez-vous ? Pour le plus grand bonheur de l’humanité, Neale Donald Walsch l’a fait. Et, croyez-le ou non, Dieu lui a répondu ! Une très longue réponse pour un grand nombre de questions, réparties sur trois livres.

Rapidement vendu à des centaines de milliers d’exemplaires, ce phénomène de l’édition est demeuré 137 semaines, soit plus de deux ans et demi, sur la liste des succès de vente publiée par le New York Times. Ces livres ont été traduits depuis en 23 langues et sont maintenant sur les rayons des librairies du monde entier ou presque, ce qui les place parmi les ouvrages spirituels contemporains les plus lus des temps modernes, avec des tirages de plusieurs millions.

Que dire sur cette série, que dire ? Sinon de la lire !! Il y a fort à parier que vous y trouverez des réponses à vos questions les plus existentielles, des réponses mûrement réfléchies, pleines de bon sens, souvent porteuses de bonnes nouvelles, parfois surprenantes, mais qui ne vous laisseront jamais indifférent ! Essayez, cela ne coûte rien ! Et vous verrez bien… Neale cherche souvent à aller au fond des choses, à pousser Dieu dans ses retranchements, à Le/La faire reformuler pour qu’un maximum de personnes puisse comprendre les réponses. De l’argent à l’amour, en passant par le travail, le sens de la vie, le processus de création de sa réalité inhérent à chaque être humain, une réflexion sur le bien et le mal, la souffrance, la voie de renoncement pratiquée par les moines…tout est abordé ! On y trouve également un tableau assez effrayant dépeignant l’état actuel de notre civilisation occidentale…et pour compenser, un tableau brossant le mode de vie de sociétés bien plus évoluées, souhaitons que l’humanité en arrive là un jour !!

Il s’agit sans hésiter pour moi DU livre que j’emmènerais sur une île déserte, du livre que toute personne engagée sur le chemin du développement personnel se doit d’avoir lu. J’ai dû lire cette trilogie, surtout le premier tome, des dizaines de fois et il s’est produit à chaque fois un étrange phénomène, à savoir que je comprenais certains passages encore plus profondément que les fois précédentes. J’ai trouvé dans Le jour des fourmis (Bernard Werber) une excellente description de ce phénomène : « Chaque lecture prend un sens différent, car elle entre en résonance avec la vie du lecteur et s’harmonise avec sa propre vision du monde ».

Une fois que vous avez lu ces livres, vous pouvez suivre cette recommandation de Werber qui colle parfaitement à ces ouvrages : « ne pas lire cet ouvrage dans l’ordre, plutôt l’utiliser de la manière suivante : quand vous sentez que vous en avez besoin, vous tirez une page au hasard, vous la lisez et vous essayez de voir si elle vous apporte une information intéressante sur votre problème actuel » (La révolution des fourmis).

Extraits :

« Rien n’est douloureux en soi. La douleur est le résultat d’une pensée fausse. C’est une erreur de pensée. Un Maître peut faire disparaitre la douleur la plus abjecte. En ce sens, le Maître guérit. La douleur résulte d’un jugement que tu as porté sur quelque chose. Retire le jugement et la douleur disparaîtra. »

« Je n’ai pas dit que vos valeurs sont mauvaises. Mais elles ne sont pas bonnes non plus. Ce ne sont que des jugements. Des affirmations. La plupart ont été prises par quelqu’un d’autre. Tes parents, peut-être. Ta religion. Tes professeures, tes historiens, tes politiciens.
Parmi les jugements de valeur que tu as incorporés dans ta vérité, tu en as fait très peu toi-même, à partir de ta propre expérience. Pourtant, c’est pour l’expérience que tu venu ici – et à partir de ton expérience, tu es venu te créer. Tu t’es créé à partir de l’expérience des autres. S’il existait un seul péché, ce serait celui-là : de te laisser devenir ce que tu es à cause de l’expérience des autres. C’est le « péché » que vous avez commis. Vous tous. Vous n’attendez pas de faire votre propre expérience, vous acceptez l’expérience des autres comme un évangile (littéralement). Puis, la première fois que vous rencontrez l’expérience véritable, vous superposez sur cette rencontre ce que vous pensez déjà savoir.
Si vous n’aviez pas fait cela, vous auriez peut-être une expérience entièrement différente, une expérience qui donnerait tort à votre maître ou source originelle. Dans la plupart des cas, vous ne voulez pas donner tort à vos parents, à os écoles, à vos religions, à vos traditions, à vos textes sacrés, alors vous niez votre propre expérience en faveur de ce qu’on vous a dit de penser. »

« Si tu es fauché, tu es fauché. Il est inutile de mentir à ce propos et, en fait, il est épuisant d’essayer de monter toute une histoire pour ne pas l’admettre. Mais c’est ce que tu penses de cette situation : « il est mauvais d’être fauché », « c’est horrible », « je sui une mauvaise personne, parce que les bonnes personnes qui travaillent fort et prennent des initiatives ne sont jamais fauchées », etc., qui régit ta façon de ressentir le fait d’être fauché. Ce sont tes paroles à cet égard (« je suis fauché », « je n’ai pas un sou », « je n’ai pas d’argent ») qui dicteront combien de temps tu resteras fauché. Ce sont tes actions environnantes (te plaindre, rester abattu, ne pas essayer de t’en sortir parce que « à quoi bon, de toute façon ? ») qui créent ta réalité sur le long terme. »

« - Tu as dit que « ce à quoi tu résistes persiste et ce que tu regardes disparaît ». Peux-Tu expliquer ?
- Tu ne peux résister à une chose à laquelle tu n’accordes aucune réalité. L’acte de résister à une chose est l’acte de lui accorder vie. Lorsque tu résistes à une énergie, tu la places là. Plus tu résistes, plus tu la rends réelle, peu importe ce à quoi tu résistes.
Si tu ouvres les yeux devant une chose et que tu la regardes en face, elle disparaît. C’est-à-dire qu’elle cesse d’entretenir sa forme illusoire.
Si tu regardes une chose (si tu la regardes vraiment), tu verras à travers elle, et à travers toute illusion quelle entretient pour toi, ce qui ne laissera à ta vue que l’ultime réalité. En face de l’ultime réalité, ta frêle illusion n’a aucun pouvoir. Elle ne peut te retenir longtemps dans sa poigne faiblissante. Tu en vois la vérité, et la vérité te libère. »

« Les idées que les gens se font du « bien » et du « mal » changent et ont changé, continuellement d’une culture à une autre, d’une période à une autre, d’une religion à une autre, d’un endroit à un autre… Et même d’une famille à une autre et d’une personne à une autre. Tu pourrais leur rappeler que ce qu’une foule de gens trouvaient « bien » à une époque, brûler les gens au bûcher pour ce qu’on appelait alors la sorcellerie, par exemple, est aujourd’hui considéré comme étant « mauvais ».
Tu pourrais leur dire qu’une définition du « bien » et du « mal » est une définition fondée non seulement sur le temps, mais aussi sur la simple géographie. Tu pourrais leur faire remarquer que certaines activités sur votre planète (la prostitution, par exemple) sont illégales à un endroit mais légales ailleurs, à seulement quelques kilomètres. Ainsi, que l’on juge une personne pour avoir fait quelque chose de « mal », ce n’est pas tellement en fonction de ce que cette personne a fait, mais de l’endroit où elle l’a fait. »

« Un tas de gens ridiculisent l’idée qu’il faut « faire ce qui fait du bien ». Ils disent que c’est le chemin de l’enfer. Mais Je dis que c’est le chemin du paradis. Tout dépend, bien sûr, de ce que tu appelles « faire du bien ». Autrement dit, quels genres d’expériences te font du bien ? Mais Je te dis ceci : aucune évolution n’a jamais été fondée sur le déni. Si tu évolues, ce ne sera pas parce que tu as pu te refuser les choses qui, tu le savais, te « faisaient du bien », mais parce que tu t’es accordé ces plaisirs. »

« - La peur et la culpabilité sont les seuls ennemis de l’homme.
- La culpabilité est importante. Elle nous indique que nous avons mal agi.
- Il n’y a rien de « mal ». Il n’y a que ce qui ne te sert pas ; ce qui ne dit pas la vérité à propos de qui tu es et de qui tu choisis d’être. La culpabilité est le sentiment qui te tient englué dans qui tu n’es pas.
- Mais la culpabilité est le sentiment qui, au moins, nous permet de remarque que nous nous sommes égarés.
- C’est de la conscience que tu parles, et non de la culpabilité. Je te dis ceci : la culpabilité est une plaie – c’est le poison qui tue la plante. Dans la culpabilité tu ne grandiras pas – tu ne feras que t’étioler et mourir. »


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