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Mes dernières chroniques

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mercredi 6 mai 2015

Les messages de CAD dans l’œuvre de Bernard Werber : Le mystère des dieux

CAD : Conversations Avec Dieu

Werber : « un être humain fait partie d’un tout que nous appelons « l’univers » ; il demeure limité dans le temps et l’espace. Il fait l’expérience de son être, de ses pensées et de ses sensations comme étant séparés du reste, une sorte d’illusion d’optique de sa conscience. Cette illusion est pour nous une prison, nous restreignant à nos désirs personnels et à une affection réservée à nos proches. Notre tâche est de nous libérer de cette prison en élargissant le cercle de notre compassion afin qu’il embrasse tous les être vivants et la nature entière dans son ensemble. »
dans CAD : l’homme, incarné dans le monde du relatif, fait l’expérience d’être séparé du Grand Tout, il est plongé dans cette illusion. Sa tâche est de se rappeler Qui Il Est Vraiment, en particulier que les choses sont toutes inter-reliées.

Werber : « ils entendent mais ils n’écoutent pas, ils voient mais ils ne regardent pas, ils savent mais ils ne comprennent pas »
dans CAD, ceci désigne l’attitude de la plupart des gens face à la Vérité :
CAD : « La question n’est pas : à qui Je parle, mais : qui écoute ? »
CAD : « Une fois qu’on a distingué, à l’aide de ces indications, Mes messages de ceux qui proviennent d’une autre source, il ne reste plus qu’à savoir si Mes messages seront entendus. La plupart de le sont pas. Certains, parce qu’ils semblent trop beaux pour être vrais, d’autres, parce qu’ils semblent trop difficiles à suivre. Un grand nombre d’entre eux, parce qu’ils sont tout simplement mal compris. La plupart, parce qu’ils ne sont pas reçus. »
CAD : « certaines personnes n’aiment pas se faire réveille ; la plupart préfèrent dormir »


Werber : « le futur n’est pas immuable. Nous n’avons vu qu’un futur probable. […] il existe un lieu où le temps n’est plus linéaire. C’est là où nous sommes allés. Le présent, le passé et le futur étant réunis, nous pouvons voyager instantanément à travers les trois. Mais rien n’est rigide, tout est muable. C’est comme un programme de jeu vidéo. Tous les choix sont possibles, mais tous les futurs ont déjà été programmés. Ensuite, chaque joueur choisit sa trajectoire. »
CAD : « Tout cela est déjà arrivé. Chaque possibilité existe en tant que fait, en tant qu’évènement achevé. […] As-tu déjà regardé des enfants utiliser un CD-ROM pour s’amuser avec un jeu vidéo sur un ordinateur ? […] T’es-tu déjà demandé de quelle manière l’ordinateur sait comment réagir à chaque coup que joue l’enfant avec le joystick ? […] Tout est sur le disque. L’ordinateur sait comment réagir à chaque mouvement que fait l’enfant parce que chaque mouvement possible a déjà été inscrit sur le disque, avec sa réponse appropriée. […] Imagine la Roue Cosmique sous la forme de ce CD-ROM. […] Ce que bien des médiums rapportent à ce propos est vrai. Ils ont ouvert une fenêtre sur l’ « avenir » et l’ont vu. Mais la question est la suivante : quel « avenir » ont-ils vu ? Comme pour le dénouement d’un jeu sur CD-ROM, plus d’une version existe. »
Comme il est dit dans CAD, tout est sur le disque, Dieu est un cd-rom. De plus les médiums peuvent percevoir non pas Le Futur, mais des futurs possibles et il nous appartient toujours de décider lequel arrivera

Werber : « ils s’apercevront qu’ils sont peut-être des mortels mais que, dès qu’ils créent, gèrent, endossent les responsabilités de leurs créatures, ils deviennent comme des dieux »
CAD : « Tu es déjà un Dieu. Tu ne le sais tout simplement pas. N’ai-Je pas dit : « vous êtes des Dieux » ? »
CAD : « La promesse de Dieu, c’est que tu sois Son fils. Sa progéniture. Son portrait. Son égal. Ah…c’est ici que tu butes. Tu peux accepter « Son fils », « progéniture » et « portrait », mais tu recules devant l’idée de te faire appeler « Son égal ». C’est trop pour que tu l’acceptes. Trop de grandeur, trop d’émerveillement, trop de responsabilité, car si tu es l’égal de Dieu, cela veut dire qu’il ne t’est rien fait, que c’est toi qui crées tout. Il ne peut plus y avoir ni victimes ni méchants ; il n’y a que les résultats de ta pensée à propos de quelque chose.  Je te dis ceci : tout ce que tu vois dans ton monde est le résultat de l’idée que tu t’en fais. Veux-tu que ta vie prenne véritablement son « envol » ? Alors change l’idée que tu t’en fais, que tu te fais de toi. Pense, parle et agis, comme le Dieu Que Tu Es. »

Werber : « ce serait terrible si nous abordions le dernier niveau pour rencontrer quelqu’un qui nous dise « voilà, c’est moi qui suis au sommet de tout et maintenant que vous m’avez trouvé, l’explication de tout est la suivante : il n’y a rien de plus à comprendre » »
CAD : « Si tu te rappelais tout, la partie serait finie. Tu es venu pour une raison particulière, et ton divin dessein serait contrecarré si tu comprenais comment tout s’emboîte. A ce niveau de conscience, certaines choses resteront toujours un mystère, et c’est bien ainsi. »
Dieu dit que sans problèmes, on ne saurait pas quoi faire, on s’ennuierait. De plus certains mystères sont faits pour rester secret, il ne sert à rien de comprendre tous les secrets métaphysiques de l’univers pour notre vie au quotidien

Werber : « en fait, la vraie question est : pourquoi Dieu, le vrai grand Dieu, ne s’est-il jamais montré à ses créatures ? S’il était apparu, personne ne l’aurait cru. On nous a déjà servi tellement d’idoles que la vérité passerait inaperçue. Qu’est-ce qu’il pourrait faire de plus que ces artistes qui chantent dans des stades emplis de centaines de milliers de personnes et dont le spectacle est retransmis en simultané dans le monde entier ? Comment pourrait-il trouver un discours plus passionnant qu’un match de football en Coupe du monde ? […] A moins qu’il apparaisse dans un grand stade, avec la télévision qui diffuse dans le Monde entier… […] on lui demandera toujours de prouver qu’il est dieu et quoi qu’il exprime ou démontre, il y aura toujours de gens pour prétendre que ce n’est pas vrai. »
CAD : « - Je n’ai aucune forme que tu comprennes. Je pourrais adopter une forme que tu pourrais comprendre, mais alors, chacun supposerait que ce qu’il a vu est la seule et unique forme de Dieu, plutôt qu’une forme de Dieu parmi tant d’autres. […] Peu importe sous quelle forme et de quelle manière Je Me révèle, peu importe la manière que Je choisis et peu importe la forme que Je prends, aucune ne sera indiscutable.
- Mais si Tu faisais une chose prouvant hors de tout doute ce que Tu es vraiment…
- Il y aurait toujours des gens qui diraient : c’est le diable, ou tout simplement l’imagination. Ou toute autre cause que Moi. »
Exactement comme dans CAD, il y aurait toujours quelqu’un pour dire qu’il ne s’agit pas de Dieu

Werber : « je cherche à rencontrer l’Amour qui a donné naissance à tous les amours. Car s’il y a Quelqu’un sur cette Montagne, si ce Quelqu’un a créé l’univers et l’entretient, c’est forcément qu’il l’aime. Et tous les amours ne sont dérivés que de ce grand Amour Premier du Créateur pour sa création. »
Dans CAD, Dieu évoque cet amour du créateur pour sa créature

Werber : « le diable ? mais il n’y a pas de diable. C’est une invention des mortels afin de s’effrayer entre eux »
CAD : « A une époque antérieure de votre histoire, vous avez vécu dans une société matriarcale. Puis, à la suite d’un changement, le patriarcat a émergé. […] C’est au cours de cette période que les mâles ont également inventé le diable et le Dieu masculin. […] Satan est essentiellement une invention des hommes. »
CAD : « Les hommes ont conçu le diable pour effrayer les gens afin de les amener à faire ce qu’ils voulaient, sous la menace de la séparation de Dieu s’ils n’acceptaient pas. »


Werber : « nous sommes tous libres dans un monde sans enfer, mais certains d’entre nous ont choisi de s’inventer un Enfer, parce qu’ils veulent délibérément souffrir. Ce lieu n’existe que par l’imaginaire des hommes. Et il n’est maintenu en activité que par leur peur, leur culpabilité et leur masochisme intrinsèque »
CAD : « - Qu’est-ce que l’enfer ?
- C’est l’expérience du pire résultat de tes choix, décisions et créations. C’est la conséquence naturelle de toute pensée qui Me nie, ou qui dit non à Qui Tu Es en relation avec Moi.
C’est la douleur que tu endures à cause d’une mauvaise façon de penser. […]
Mais l’enfer n’est pas cet endroit de tes fantasmes où tu brûles en quelque feu éternel, où tu existes en quelque état de tourment perpétuel. […] Mais Je te dis que ce n’est pas Moi qui t’envoie là, pas plus que je ne t’oblige à faire cette expérience. C’est toi qui crées l’expérience, chaque fois que, d’une façon ou d’une autre, tu sépares ton Soi de l’idée la plus élevée que tu te fais de toi-même. »
Si l’on part du principe que « la peur et la culpabilité sont les seuls ennemis de l’homme », alors en effet ce sont elles qui nous maintiennent dans la souffrance, dans notre enfer quotidien (=savoir qui on est et ce qu’on veut être mais ne pas y parvenir)


Werber : « et en m’aimant suffisamment moi-même, je peux être aimable envers les autres »
CAD : « tu dois d’abord voir toute la valeur de ton Soi avant de pouvoir voir toute la valeur de quelqu’un d’autre. Tu dois d’abord voir toute la grâce de ton Soi avant de pouvoir voir toute la grâce de quelqu’un d’autre. Tu dois d’abord connaître la sainteté de ton Soi avant de pouvoir reconnaître la sainteté de quelqu’un d’autre. »
Il faut commencer par soi d’abord sous peine de chercher à combler un manque avec l’autre, impossible à combler d’où de la souffrance

Werber : « […] théorie encore plus audacieuse selon laquelle non seulement le passé, le présent et le futur seraient réunis dans le ici et maintenant, mais toutes nos vies antérieures et futures se dérouleraient en même temps que notre vie présente dans la dimension superlumineuse »
CAD : « - Il n’y a d’autre temps que celui-ci. Il n’y a d’autre instant que celui-ci. Il y a « maintenant », c’est tout.
- Et « hier » et « demain » ?
- Des créations de ton imagination. Des constructions de ton esprit. Inexistantes dans l’Ultime Réalité. Tout ce qui est jamais arrivé, est en train d’arriver et arrivera jamais, est en train d’arriver maintenant. »
CAD : « Tu existes simultanément à chaque niveau du Continuum Espace-Temps. C’est-à-dire que ton âme A Toujours Eté, Est Toujours et Sera Toujours. […] Tu existes partout et en tout temps !
CAD : « Tout cela se passe « maintenant » et à bien des niveaux. Dans ta réalité linéaire, l’expérience t’apparaît sous la forme du Passé, du Présent et du Futur. Tu t’imagines n’avoir qu’une vie, ou peut-être plusieurs, mais sûrement une seule à la fois. Mais si le « temps » n’existait pas ? Alors tu vivrais toutes tes « vies » en même temps ! C’est bien ce qui se produit ! »
CAD : « Si l’un des « moi » du continuum espace-temps « meurt », puis revient ici en tant qu’une autre personne…alors…alors, qui suis-je ? Je devrais exister en tant que deux personnes à la fois. Et si je continuais de faire cela durant toute l’éternité – et tu dis que je le fais -, alors je suis cent personnes à la fois ! Mille. Un million. Un million de versions d’un million de gens à un million de points du continuum espace-temps. »

Werber : Parole de l’univers : « eh bien tu vois, je n’ai rien à t’apprendre, tu as toujours su, c’est juste  que tu avais oublié, maintenant tu te rappelles et tu sais »

CAD : « Vous n’êtes pas ici pour apprendre quoi que ce soit. La vie n’est pas une école et ton but ici n’est pas d’apprendre ; il est de te r-appeler, de te souvenir. »



Découvrez la trilogie Nous les dieux, de Bernard Werber et la série Conversations avec Dieu de Neale Donald Walsch !


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