« Le seul
obstacle qui se dresse entre vous et votre objectif est cette idée pourrie que
vous vous ressassez, selon laquelle vous ne pouvez pas réussir »
« ayez des
pensées positives car vos pensées deviennent votre destin »
« Votre éveil spirituel se
fait essentiellement par la maîtrise de vos pensées, de vos paroles et de vos
actes. Cet éveil spirituel se fait aussi par la maîtrise de vos peurs, par la
maîtrise de votre émotionnel. » (http://ducielalaterre.fr/, message
canalisé par Monique Mathieu)
Il faut être conscient des raisons qui motivent nos pensées,
paroles et actions : savoir pourquoi on pense cela (exemple : c’est
une pensée positive, qui m’aide), pourquoi on dit cela (exemple : c’est la
vérité sur ce que je ressens), pourquoi on agit ainsi (exemple : c’est une
action qui permet la transformation voulue, qui participe à mon objectif).
« Maîtrisez vos paroles afin
qu’elles soient justes, contrôlez vos pensées afin qu’elles ne nuisent pas, que
ce soit à vous ou aux autres » (http://ducielalaterre.fr/, message
canalisé par Monique Mathieu) : pour entrer dans une communication plus
vraie et plus enrichissante, cherchez les mots justes, afin d’éviter les
malentendus, les quiproquos. Comme on fait tous Un, ce que vous faites aux
autres, c’est à vous-même que vous le faites.
« vous n’êtes
confiné que par les murs que vous avez-vous-même bâtis »
Ces murs sont bien sûr vos pensées, vos croyances, vos
peurs, vos représentations du monde, de ce qui est possible et de ce qui ne
l’est pas, de ce qui est possible pour vous et de ce qui ne vous l’est pas.
« La foi peut
déplacer des montagnes, le doute peut les créer »
Pour déplacer des
montagnes : découper la tâche ardue en succession de petites tâches
simples (en anglais, « turtle steps »). Cette fois encore on peut
prendre l’exemple de Fort Boyard :
Je pense aux fameuses séquences où les candidats font face
aux serpents ou aux araignées (et dieu sait qu’ils furent bien nombreux dans ce
cas !). Le candidat qui doit descendre dans la fosse dit et répète
« je ne peux pas, je ne peux pas » et ses coéquipiers lui répètent au
moins d’essayer, qu’ils sont là à l’encourager, et lui disent « pour
l’instant, descends seulement dans la fosse, ne les touche pas ». Et
ainsi, de proche en proche, le candidat finit par saisir une bestiole, voire
deux. Alors que s’il était resté seul avec ses « je ne peux pas »,
pour sûr qu’il n’aurait jamais accompli cet exploit
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