« Tous les jours
ne seront pas bons, mais il y aura quelque chose de bon dans chaque jour »
L’homme souhaite voir des signes
et des tendances partout, pour se figurer à quoi ressemblera le futur. S’il
pluviote le matin, il se dit « ça commence bien ! je la sens pas
cette journée ! ». Mais il n’y a pas de tendances, et même pas de
choses bonnes ou mauvaises, il n’y a qu’une succession d’évènements, qui seront
plus ou moins plaisants selon ce que l’on aura choisi d’en penser. C’est par
son choix de pensée, son choix de réaction face à ce qui arrive (ce qui n’est
pas alors une réaction inconsciente, mais une création consciente, choisie),
que l’homme décide si cette journée a comporté des choses bonnes ou non.
« vous faites une
montagne d’un petit problème »
« Aujourd’hui
était un jour affreux mais cela ne signifie pas que demain ne sera pas le
meilleur jour de votre vie »
C’est comme une chose qui a un
faible pourcentage de chances de se réaliser, par exemple faire un double 6 aux
dés. On considère presque d’emblée que puisque la probabilité est faible, c’est
comme si elle était nulle. Pourtant on peut obtenir un double 6 aux dés, dès le
premier tirage même, et même plusieurs fois de suite. Je me dis toujours qu’à
partir du moment où ce n’est pas impossible, cela signifie que c’est
possible ; donc cela reste en course, au même titre que toutes les autres
choses possibles.
Dieu recommande même de
s’attendre au miracle, comme la pensée est créatrice, c’est le meilleur moyen
de les faire arriver ! Ceci est relayé par http://source.ducielalaterre.org/
(message canalisé par Monique Mathieu) : "Il faut toujours croire au miracle. Le miracle peut s'accomplir dans chacune de vos vies d'une seconde à l'autre. Comprenez que le miracle peut s'accomplir si vous associez des millions de millions de pensées créatrices allant dans le même sens. Les pensées d'Amour et de Lumière créatrices seront perçues par les dieux créateurs et par la Source. La Source, le Père, étant en toute vie, Il ressentira l'Amour et la Lumière qui émanent de Ses enfants. Comme un Père aimant, Il évitera de faire souffrir Ses enfants."
Le jour des fourmis,
Werber :
Devant un obstacle, un être humain a pour premier réflexe de
se demander « pourquoi y a-t-il ce problème et de qui est-ce la
faute ? » il cherche les coupables et la punition que l’on devra leur
infliger pour que cela ne se reproduise plus.
Dans la même situation, la fourmi se demande d’abord
« comment et avec l’aide de qui vais-je pouvoir résoudre ce
problème ? ». Dans le monde myrmécéen, il n’y a pas la moindre notion
de culpabilité.
Il y aura toujours une grande différence entre ceux qui se
demandent « pourquoi les choses ne fonctionnent pas » et ceux qui se
demandent « comment faire pour qu’elles fonctionnent ».
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